Et que dire du batteur John Boecklin, véritable poumon de la formation de Santa Barbara, qui insufflera tout au long du show une énergie énorme aux compositions du groupe, par sa technique et son groove. Il n’y a rien à dire Devildriver est une grosse machine live, pleine de charisme, de technique et d’efficacité. On retiendra dans les autres bons moments de la prestation, l’enchaînement des 2 singles I Could Care Less et Hold Back The Day, ainsi qu’un Driving Down The Darkness enchaîné à Meet The Wretched en fin de prestation. Lorsque le groupe quitte la scène, il est très tôt, et l’on remarque que le concert n’a que duré 50 minutes. Le groupe revient pour un rappel non prévu à l’origine où il jouera un furieux I Dreamed I Died avant de souhaiter un joyeux noël à tout le monde et de rentrer chez lui aux Etats-Unis pour un break avant de se préparer pour une nouvelle tournée. Bonne confirmation live donc pour Devildriver que l’on espère voir prochainement dans de meilleures conditions et peut être sur les festivals d’été. |
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