Après une entré fracassante sur A Bid Farewell même constat que pour les autres groupes en bien mieux toutefois : le son n’est pas terrible du tout à l’avant de la scène (par contre plutôt bon des le milieu de la salle). Joel Stroetzel se pose sur le coté gauche en jouant les méchants metalleux, Mike D. fait toujours le poseur en tenant sa basse à la verticale, Howard Jones remis d’aplomb vocalement sera très discret et le clown de la soirée Adam Dutkiewitz n’aura pas failli à sa réputation en enchaînant les expressions de visage loufoque, les poses d’autruche, ou encore les crises de fou rire lorsqu’il fonce dans un de ses partenaires par mégarde (certainement du au fait que les dernières salles ou le groupe s’est produit contenait environ 17 000 personnes et que forcement la Boule Noire ça fait plus petit !). Le début du set est vraiment un enchaînement de petites tueries avec Numbered Days, Life To Lifeless et Take This Oath qui s’enchaînent. D’ailleurs dans le pit c’est la guère, les slammers abondent vers la scène et les pogos font rages. Petit moment de relâche avec l’excellent single extrait du dernier album du groupe : la chanson titre The End Of Heartache. Le groupe est vraiment très en place et malgré son énergie permanente a une exécution irréprochable. La furie va revenir très vite avec Breathe Life, Self Revolution et Hope Is (pendant laquelle le chanteur de All That Remains viendra prêter main forte au groupe) jouées d’une traite. Ensuite Howard annonce au public qu’il ne reste plus que 2 chansons, il s’en suit donc les 2 tubes du groupe Last Serenade et Rose Of Sharyn qui reçoivent un superbe accueil de la part du public. Au bout de seulement 40 minutes de show on attend quand même un rappel ou deux, et bien non le groupe a vraiment fini son set ! Dommage car cette prestation de Killswitch Engage était en tout point parfaite, mais jouer 40 minutes en tête d’affiche est quand assez limite ! |
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